Où va le monde ?
De là où je suis, le monde semble être en piteux état.
Je n’ai pas la prétention de penser que je peux changer le cours des choses, je pense cependant que chacun d’entre nous, en utilisant son pouvoir unique, peut déclencher quelque chose chez les autres, qui en feront de même… et ainsi de suite.
Dans cet article, je détaille le constat que je fais aujourd’hui et je t’invite à la prise de hauteur et à la réflexion.
Le haut est en bas… et inversement
Quand j’étais petite, je ne comprenais pas le monde. Je ne comprenais pas la méchanceté des enfants entre eux à l’école, je ne comprenais pas pourquoi la société était organisée comme elle l’était, je ne comprenais pas le monde des adultes que je trouvais bien trop compliqué et faux.
J’avais également, à l’âge de 5-6 ans, la certitude que l’univers était bien plus vaste que nous pouvions l’imaginer et qu’il était arrogant de penser que nous en étions les seuls habitants, car il existait probablement de nombreuses autres dimensions et de ce fait, nous étions bien incapables d’en connaître l’existence, de les sentir… sans parler de les voir. Mais ça, j’en parlerai une autre fois.
Je sentais un décalage (souvent énorme) entre ce que je percevais et ce que les adultes disaient, je ne comprenais pas ce que les gens disaient à la télé, je ne comprenais pas qu’on puisse décider de faire du mal à une autre personne, quelle qu’en soit la raison. Faire la guerre était un concept impossible à saisir, pour moi.
En gros, rien n’avait de sens. J’étais dans la sidération et le désaccord avec ce qui se passait sur Terre et aujourd’hui, je peux dire que j’avais une perception tout à fait juste de ce qui se passe réellement.
Ce qui est en bas est en haut, ce qui est laid est beau, ce qui est faux est vrai, ce qui est vulgaire est noble, ce qui est injuste est juste, ce qui est accessoire est essentiel… voilà comment fonctionne le monde aujourd’hui : tout a été inversé, petit à petit, réforme après réforme, loi après loi, guerre après guerre, mouvement de pensée après mouvement de pensée.
Quand j’ai vu le dessin animé Alice au Pays des Merveilles de Disney, pour la première fois, je ne m’en suis pas rendu compte mais il m’a apporté une clé fondamentale : la confirmation que le monde tourne à l’envers.
Je l’ai regardé des tas de fois depuis, fascinée. J’ai aussi découvert que ce dessin animé, comme tout ce qui est produit par Hollywood, sert un objectif noir dont j’aurai l’occasion de reparler (si tu veux déjà en savoir plus tu peux lire Alice au pays de Lucifer, de François Dubois). Toujours est-il qu’il m’a permis de comprendre le monde dans lequel j’étais arrivée.
J’ai toujours gardé ce fond de profond désaccord. Je suis passée par des phases où j’ai essayé de me conformer, sans vraiment réussir, et puis des phases où j’ai essayé d’être pleinement moi, mais de m’insérer malgré tout, de “jouer le jeu” du système tout en étant authentique.
Le constat que je fais aujourd’hui, c’est que ça m’a pris énormément d’énergie.
« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être bien adapté à une société malade. »
Oui, la société est malade. Et c’est voulu.
Le système fonctionne exactement comme il le doit !
Je fais des recherches depuis maintenant 7 ans. J’y passe de nombreuses heures par semaine. Quand je dis “recherches”, ça veut dire que je m’intéresse au monde pour essayer de comprendre comment il fonctionne, et ça passe, globalement, par essayer de saisir ce qui est invisible :
qui influence ce qui se passe dans le monde ?
dans quelle direction ça va ?
pourquoi ?
comment tout ça s’est construit, organisé, mis en place ?
Là je résume en 4 petits points, parce que finalement, ce sont les questions auxquelles mes recherches me permettent de répondre petit à petit.
Mais les recherches en elles-mêmes, elles sont vastes, multidimensionnelles, pleines de ramifications, surprenantes, sidérantes parfois. On commence par un petit bout, on déroule la pelote et on se retrouve sur des sujets qui n’ont plus rien à voir… en apparence.
Dans cet article, je n’ai pas envie de lister toutes les sources qui me font dire ceci ou cela. Je mise sur le fait que tu as déjà, potentiellement, fait quelques recherches ou bien que tu sauras te saisir des sujets que j’aborde pour en faire de ton côté.
Tous les chemins mènent à Rome… toutes les recherches également — au sens propre comme au sens figuré. En explorant l’ampleur des mensonges auxquels on nous a nourris pendant des siècles, on finit par avoir une image globale et finalement assez simple de tout ce qui a été mis en place pour nous contrôler.
Au bout du compte, toutes mes recherches me ramènent au même endroit : elles me font simplement voyager dans les méandres de l’espace et du temps, dans l’infiniment petit et l’infiniment grand, pour me permettre de voir, de saisir le mouvement dans lequel l’humanité est prise, malgré elle.
La conclusion à laquelle je suis arrivée, pour faire simple, est que le système (j’entends par là le système dans lequel nous vivons) n’est ni pourri ni cassé ; il est au contraire très performant et il produit exactement ce pourquoi il a été créé (The purpose of a system is what it does).
Pendant des années je me suis dit que le système était mauvais, qu’il y avait beaucoup trop de problèmes dedans et qu’il fallait le changer, le faire évoluer… Je n’ai par contre jamais trouvé d’action réelle à mettre en place, qui me parle, qui me semble pertinente, efficace.
La seule chose que j’ai à peu près réussi à faire, c’est de fonctionner, à mon niveau, d’une façon qui me semble juste. C’était bien, mais tellement pas suffisant… Donc je suis restée longtemps avec ce constat et un sentiment profond d’impuissance.
En réalité, le système tel qu’il est, produit exactement les résultats pour lequel il a été mis en place :
vol des droits fondamentaux et des libertés de l’individu ;
enfouissement et confiscation de la connaissance et des savoirs sacrés ;
abrutissement de l’individu ;
anéantissement progressif du vivant, du beau, du vrai, du juste ;
prise de contrôle grandissante sur les peuples.
La politique, les médias, l’art, l’éducation, les institutions, les religions, les avancées technologiques, la “science”, les mouvements idéologiques… tout ce qui est proposé aux peuples, mis en avant, sert les objectifs que j’ai listés plus hauts.
Pour certains, c’est visible et évident, pour d’autres, c’est plus pernicieux. On a d’autant plus de mal à distinguer cela qu’on est soi-même impliqué dans ces différents domaines.
C’est seulement récemment que j’ai vu à quel point le cinéma et la musique étaient utilisés pour conditionner les esprits. J’en avais une petite idée, mais je ne pouvais pas imaginer que toute l’industrie d’Hollywood avait précisément été créée pour ça, et que tous les grands “artistes” musicaux étaient fabriqués ou manipulés pour servir la cause des psychopathes qui dominent le monde.
Quand je prends de la hauteur et que je regarde le monde tel qu’il est aujourd’hui, je constate :
que nous avons largement tout ce qu’il nous faut pour vivre tous ensemble, heureux et en paix ;
que nous vivons exactement l’inverse : globalement coupés les uns des autres, dans la misère (physique, émotionnelle et spirituelle) et en guerre perpétuelle.
Pour moi, le hasard n’existe pas. Si les choses sont comme ça, c’est parce qu’elles ont été voulues comme ça.
Et je ne crois pas qu’elles soient la manifestation d’un dieu ou d’une intelligence supérieure qui cherche à nous mettre à l’épreuve pour nous faire grandir. Le niveau d’atrocité de ce qui se passe sur Terre à chaque instant est tel que, pour moi, il s’agit d’une prise de pouvoir gigantesque sur la planète et sur l’humanité.
Il me manque encore beaucoup d’éléments pour tout comprendre (il y a toujours plus à découvrir) mais pour l’instant, je pense que nous, êtres humains, sommes utilisés pour nourrir un système, une bête immonde.
Et je le pense parce que je peux le voir au quotidien.
Sommes-nous les esclaves d’une secte ?
Les peuples, globalement, sont traités comme on traite un cheptel aujourd’hui. Par qui ? Par ceux qu’on appelle l’élite, les oligarques, les puissants… moi-même je ne sais pas encore comment les appeler. C’est une secte de psychopathes, qui aime par dessus tout :
le contrôle, la domination ;
le pouvoir, la hiérarchie ;
le calcul, la planification, la stratégie ;
les rituels ;
les sacrifices, la torture, le sang ;
tout inverser : le beau et le laid, le vrai et le faux, le juste et l’injuste, etc.
Ils n’ont aucune empathie, aucune compassion. Ils agissent froidement et se repaissent des atrocités qu’ils commandent ou qu’ils commettent.
Ils maîtrisent les lois énergétiques (connaissances ésotériques et occultes, principes de l’alchimie, astrologie, numérologie, symbolisme, géobiologie…), ont des moyens colossaux pour les mettre en application et s’en servent en permanence pour installer le système de contrôle et de domination qui les anime depuis des millénaires.
Les symboles occultes sont présents absolument partout où tu regardes : sur les billets et les pièces, dans l’architecture, dans la politique et les institutions, dans les événements artistiques, culturels, sportifs… ouvre les yeux et tu verras. Spoiler alert : ce n’est pas une ode à la beauté de l’univers.
Encore une fois, pour le remarquer il faut prendre le temps d’observer attentivement ce qui est fait, comment et surtout quand. Précisément.
Je ne vais pas entrer dans les détails de qui sont ces individus, ce serait long et ce n’est pas mon propos aujourd’hui. Je t’invite par contre à prendre du recul sur ce que je dis et à te poser des questions.
Ceux que l’on voit et ceux dont on connaît le nom ne sont pas ceux qui contrôlent le monde. Ils ne sont que des pions dans un système qui avance lentement mais sûrement vers un objectif fixé depuis bien longtemps. Les individus qu’on nous agite sous le nez et qui sont utilisés pour créer de la polémique et divertir n’ont pas d’importance en tant que tels.
Les belles histoires qu’on nous raconte sur “ceux qui ont réussi” sont tout sauf vraies et nous sont servies pour nous donner l’illusion que nous aussi, nous pourrions réussir, si on s’en donnait les moyens. C’est une façon non seulement de nous maintenir dans la croyance que nous vivons dans un monde libre, mais en plus de nous humilier parce que nous n’arrivons pas à atteindre un tel niveau de “réussite”.
Les petits jeunes qui ont démarré dans leur garage, les gens qui ont habité dans leur voiture… et qui aujourd’hui sont des stars, milliardaires voire plus, n’ont pas suivi le chemin qu’ils disent avoir emprunté. Si tu cherches un peu, tu trouveras des éléments de réponse pour comprendre ce qui les a amenés là où ils sont.
Aujourd’hui, nous avons encore un semblant de liberté dans nos vies et nous avons encore, pour certains, la possibilité de mettre des choses en place, de créer, de vivre selon nos aspirations. Mais je ne sais pas si tu as remarqué, c’est de plus en plus difficile… crois-tu que c’est à cause de la conjoncture ?
LOL. La conjoncture, c’est la situation dans laquelle nous sommes et qui a été minutieusement planifiée et amenée par ces tordus dont je parle plus haut. Tout se passe exactement comme ça doit se passer.
Notre périmètre de liberté ne va pas aller en augmentant mais en diminuant.
Aujourd’hui nous sommes extrêmement limités dans le quotidien et n’avons pas la possibilité de créer ce que nous voulons voir exister. Toute tentative de création de valeur est systématiquement sapée par les institutions. Et ce n’est ni un défaut de fonctionnement, ni un manque de compétence, ni un hasard.
Comme des moutons dans un enclos qu’on restreint tout doucement.
Comme des esclaves qu’on cherche à contraindre toujours un peu plus — sans pour autant détruire, parce qu’on a quand même besoin d’eux.
Leur ingrédient magique : le temps
Tout ça se fait depuis des millénaires, tout doucement… tout doucement. C’est ce qu’on appelle le totalitarian tiptoe (totalitarisme sur la pointe des pieds).
Evan McDermod explique ça très simplement :
« The reason any kind of totalitarianism is able to be implemented with the population’s consent is due to the slow nature of its rollout. »
Traduction : La raison pour laquelle tout type de totalitarisme s’installe avec le consentement de la population est la lenteur de son déploiement.
La lenteur.
Tout se fait lentement, depuis très longtemps, ce qui fait que sur une vie, sur une génération, on peut s’en rendre compte, mais pas suffisamment (en tous cas pour la majorité des gens) pour qu’une vraie rébellion ait lieu.
Ceux qui sont derrière cette volonté de contrôle sont des maîtres du temps :
d’une part, ils ont créé un système qui dépasse l’individu, afin que leurs objectifs puissent se réaliser sur le long terme, sans dépendre de l’un ou de plusieurs d’entre eux — quand il y en a un qui disparaît, il y en a toujours un autre prêt à prendre la relève ;
d’autre part, ils effacent leurs traces dans le passé : ils racontent l’Histoire comme ça les arrange, la modifient petit à petit et empêchent de parler ceux qui posent des questions ou remettent en cause les discours officiels.
Ils manipulent la langue et le langage, pour modifier notre perception. Ils manipulent les esprits en travestissant les faits, pour finalement arriver à un mémoricide.
Traduction : Tout s'évanouissait dans la brume. Le passé était effacé, l'effacement était oublié, le mensonge devenait vérité. (1984, de George Orwell)
C’est la raison pour laquelle on dit que l’Histoire se répète : on ne peut pas tirer les leçons d’une Histoire que nous ne connaissons pas.
Enfin ça… c’est vrai seulement si on reste gentiment dans le rang. Parce que même si leur système est très très bien ficelé, il y a toujours quelques failles.
Il y a toujours des personnes qui ne sont pas d’accord, qui conservent des traces et des preuves que ce qui est dit officiellement n’est pas la vérité de ce qui s’est passé. Il y a toujours des gens qui transmettent la version réelle des faits. Il y a toujours des gens animés par la vérité avant tout, qui cherchent à la dévoiler.
C’est précisément de ça dont nous avons besoin aujourd’hui.
Le futur qui nous attend
Quand je regarde ce qui se passe sur les réseaux sociaux globalement, et que j’écoute les conversations autour de moi aujourd’hui, je suis stupéfaite.
Pourquoi est-ce qu’on n’est pas en train de s’organiser, collectivement, ne serait-ce qu’à petite échelle, pour sortir de ce système totalitaire ?
Pourquoi est-ce que personne ne semble s’inquiéter de l’avenir à court et moyen terme ?
Pourquoi est-ce que tout le monde continue à faire comme si de rien n’était ?
Mon intention n’est pas de faire peur. Mais face à une situation de danger, il faut être capable de voir ce qui se passe pour agir de façon efficace.
Or nous sommes en situation de danger. Le problème est que nous y sommes depuis tellement longtemps que nous ne nous en apercevons même pas.
De mon point de vue, l’étau est en train de se resserrer avec une rapidité et une efficacité déconcertante et nous avançons tout droit vers un monde qui n’a rien à envier aux pires dystopies (1984, La ferme des animaux, Le meilleur des mondes…).
Au programme ces prochaines décennies : remplacement de tout le personnel administratif d’abord, puis de tout le personnel quel qu’il soit, ensuite, par l’IA ; contrôle de la population via l’enregistrement des données (interactions sociales, comportements en ligne et en direct, achats, déplacements, utilisation de matières premières, santé, etc.) ; instauration d’un revenu universel (puisque l’être humain sera devenu obsolète et inutile) soumis à crédit social ; mise en pratique progressive des smart cities, où les gens devront vivre ; fusion de l’IA avec le corps humain…
Toutes ces choses ne vont pas arriver, elles sont déjà en train d’être mises en place.
Si tu penses que j’exagère, je te recommande de faire des recherches approfondies sur :
Elon Musk
Starlink, Neuralink
DOGE
Palantir
Peter Thiel
l’intelligence artificielle en général et ce qu’on est déjà capable de faire avec
… pour commencer. Il est probable que tes recherches te conduisent encore ailleurs.
Moi, cette vie-là, je n’en veux pas.
Mais peu nombreux sont ceux qui d’une part voient ce qui est en train d’arriver, et d’autre part alertent leurs frères et sœurs humains sur l’avenir qu’on nous réserve.
J’ai parfois la sensation que chacun vit dans une petite bulle : la bulle du dev perso, la bulle du business, la bulle du coaching “succès/réussite”, la bulle du train-train quotidien…
Est-ce qu’avoir du succès sera toujours important pour toi, quand les robots auront remplacé le personnel de ta commune ?
Est-ce que “te réaliser pleinement” sera encore possible quand toi et tes proches, vous serez tous au revenu universel et que vous devrez respecter certaines règles pour avoir accès à votre argent mensuel ?
Est-ce que tu crois encore qu’il est possible de “manifester” sa vie de rêve, indépendamment de ce qui se passe dans le monde ?
Est-ce que tu penses qu’il sera encore possible d’être coach ou de vendre des services pour les entrepreneurs, quand on sera passé à la monnaie digitale contrôlée ?
Est-ce que tu penses que tu es libre, aujourd’hui ?
Est-ce que tu es d’accord pour vivre cette vie-là ?
Je ne sais pas si ce monde-là, nous le verrons, parce que comme je l’ai dit, ils prennent leur temps (même si on ne dirait pas). Mais si nous ne le voyons pas, ce sont nos enfants qui le verront, ou nos petits enfants. Quel beau cadeau.
Alors certes, ton état intérieur impacte la réalité, mais la réalité ne dépend pas seulement de comment tu te sens.
Autrement dit : ce n’est pas parce que tu hausses ton niveau vibratoire que le monde va changer, parce que tu n’es pas seul(e), dans ce monde. J’en parle dans cet article.
Guérir tes blessures intérieures est essentiel, attention. Mais ça ne suffit pas pour que le monde change. L’action extérieure est essentielle aussi. Les 2 vont ensemble.
La méditation, le fait de “vivre en conscience” (quel que soit le sens de cet expression, personnellement ça me questionne), de travailler sur ton niveau d’énergie, tout ça, c’est mignon mais ça ne va rien changer en profondeur.
Ton quotidien sera juste plus agréable, parce que tu auras les yeux fermés pendant qu’on te conduit au pied du mur.
Le plus grand ennemi de l’humanité
Notre plus grand ennemi n’est pas la peur, ni même cette secte de psychopathes.
Notre plus grand ennemi, c’est l’ignorance.
Ils nous ont offert du pain et des jeux, et nous avons accepté, encore et encore. Aujourd’hui, plus personne ne s’intéresse au sort de l’humanité réellement. On s’intéresse à des causes très spécifiques, sans comprendre que toutes les causes à défendre dans le monde ont la même racine.
Traduction : Sommaire de notre société. Vérités déplaisantes. Mensonges confortables.
Rares sont les personnes qui ont creusé jusqu’à identifier cette racine. Et quand ces personnes en parlent, peu les écoutent.
Aujourd’hui, l’immense majorité de la population croit :
elle croit qu’elle sera sauvée par le ou les dieux auxquels elle voue un culte ;
elle croit que le système veut son bien même s’il a du mal à le montrer ;
elle croit que les institutions et les administrations sont parties d’une bonne intention ;
elle croit qu’on ne peut pas vivre sans gouvernement ;
elle croit que la politique est un moyen pour faire bouger les choses ;
elle croit que réaliser son rêve au quotidien suffira à faire monter le niveau d’énergie de la planète ;
elle croit qu’en se protégeant dans une bulle de lumière dorée, tout ira bien ;
elle fait confiance aux médias.
Nous sommes tous empêtrés dans un labyrinthe quotidien qui n’a aucun sens fait d’obligations, de devoirs, de comptes à rendre, de taxes à payer.
Nous passons la plus grande partie de notre vie à faire des choses dont l’objectif est de nous permettre de profiter du peu de temps qui nous reste. Relis cette phrase — elle est insensée et pourtant, c’est la réalité d’une écrasante majorité.
Et nous ignorons tout de l’essentiel :
quelle est la vraie nature de la réalité ?
comment le monde fonctionne vraiment ?
comment et pourquoi le système dans lequel nous vivons a été mis en place ?
qui tire les ficelles derrière les marionnettes qui sont au pouvoir ?
qui sommes-nous ?
quelles sont nos ressources ?
C’est dommage, parce que si nous prenions le temps de faire des recherches sur tous ces sujets, nous pourrions réaliser 3 choses :
nous sommes infiniment plus nombreux que ceux qui cherchent à nous contrôler ;
nous sommes bien plus puissants que ce que nous croyons ;
les connaissances à acquérir pour retrouver notre souveraineté sont disponibles.
Ainsi, si nous étions assez nombreux à nous intéresser aux connaissances fondamentales, nous aurions les moyens, collectivement, de sortir de ce système et le laisser mourir, affamé.
Traduction : “Nous ne sommes pas inférieurs en nombre, nous sommes inférieurs en organisation.” —Malcom X
Parce qu’effectivement, nous sommes nombreux.
Jusqu’à maintenant, exercer le pouvoir et le contrôle sur nous a été possible non pas physiquement (nous sommes trop nombreux), mais psychiquement.
Le fonctionnement est simple : en contrôlant nos perceptions, ils contrôlent nos attitudes et donc nos actions. Comment ils contrôlent nos perceptions ? En contrôlant les informations qui nous parviennent, l’accès aux connaissances, les versions officielles de l’Histoire, l’éducation, etc.
Si l’humanité ne sait pas qui elle est ni d’où elle vient, c’est parce qu’on a sciemment cherché non seulement à lui cacher, mais en plus à la détourner de son envie de savoir.
C’est ce qui fait que presque personne ne se pose les questions que j’ai listées plus haut, et encore moins nombreux sont ceux qui se retroussent les manches pour chercher les réponses.
Ça devrait pourtant être des questions de base, pour tout être humain, non ?
Chercher, transmettre
Quand j’ai découvert le travail de Mark Passio il y a quelques années, j’ai été frappée par une chose qu’il répète souvent : quand on a compris ce qui se passe sur Terre, on ne peut pas simplement retourner dans sa vie et continuer comme avant. Sinon, c’est qu’on a pas vraiment compris.
« Being “awake” means knowing the causal factors that have led to the current human condition and knowing that true enlightenment is not about pursuing bliss in a world that is currently filled with suffering.” »
Traduction : Être “éveillé” signifie connaître les causes qui ont conduit à la condition humaine actuelle et savoir que la véritable illumination ne consiste pas à rechercher le bonheur absolu dans un monde actuellement rempli de souffrance.
Il invite les gens qui l’écoutent à prendre le relais et à trouver leur façon personnelle de transmettre ce qu’ils ont découvert et appris, pour que de plus en plus de personnes sortent de l’ignorance.
Je me sens pleinement concernée et je n’ai pas encore vraiment trouvé comment j’allais m’y prendre, mais je sens que ce que j’ai à faire se trouve, en tous cas en partie, ici.
Je ne peux pas faire autrement. Je ne vois pas comment me mettre au service de l’humanité si je ne fais que tourner autour du pot, ou danser autour de l’éléphant dans la pièce. Et je ne suis pas venue pour autre chose que me mettre au service de l’humanité, donc… je vais trouver ma façon de le faire.
Évidemment, l’idée ici n’est pas de dire à chacun ce qu’il doit faire, mais plutôt de s’arrêter un instant pour se poser la question : qu’est-ce que je décide et pourquoi ?
Le monde ne pourra pas aller mieux si on continue à fermer les yeux et à ne s’intéresser qu’à la surface des choses.
Parmi les secrets que nous avons à (re)découvrir, il y a beaucoup de choses sur le fonctionnement de l’énergie, des émotions, sur notre puissance créatrice… nous avons des ressources colossales à notre disposition.
Mais il semble que nous soyons encore endormis. Ignorant tout, incapables de nous lever pour reprendre notre souveraineté.
La décision de nous réveiller collectivement appartient à chacun, individuellement.
Et tu sais quoi ? Même si ça prend du temps, je pense que participer à ce réveil de l’humanité peut rendre profondément heureux.
Mes recommandations pour aller plus loin :
Les livres de David Icke + sa chaîne privée (surtout ses vidéos à lui)
Les vidéos de Mark Passio et pour ceux qui ne parlent pas anglais :
Les vidéos de Jérémie Mercier
À toi de me dire, maintenant : que retiens-tu de cet article ? As-tu des questions ? Dis-le moi en commentaire, je serai ravie de te lire.
—Flora