Harry Potter et le nouvel ordre mondial | Partie 1

Une bataille ? Quelle bataille ?

Pour comprendre cette série d’articles que je suis en train d’écrire sur la saga Harry Potter et le lien que je vois entre cette histoire et notre histoire actuelle, celle du monde, il faut déjà avoir ouvert les yeux sur le fait que nous sommes, l’humanité, au cœur d’une crise.

Une crise morale, une crise de conscience.

Une grande bataille est en train d’avoir lieu, une bataille qui date…

Cette bataille lourde et sourde est visible et palpable, certains en payent le prix fort et y laissent leur vie. Mais elle est aussi subtile et invisible : ceux qui tirent les ficelles et leur épingle du jeu ne sont pas ceux qu’on pense, certainement pas ceux que l’on voit.

Cette bataille extérieure collective est, de mon point de vue, le reflet de nos batailles intérieures individuelles. Oui, nous avons chacun une bataille en cours.

À l’intérieur de chacun, il y a un champ de bataille. Parfois, il est calme, parfois c’est le bordel.

Quand c’est le bordel :

  1. soit on s’en aperçoit parce qu’on a suffisamment de recul sur ce qui se passe en nous et alors, on fait ce qu’on sent être nécessaire pour que le conflit se dissolve ;

  2. soit on ne s’en aperçoit pas et alors la vie nous présente des situations, des personnes ou des événements qui feront de parfaits écrans de projection pour ces conflits intérieurs : mis à l’extérieur, ils seront plus faciles à voir, appréhender et traiter. Le risque, par contre, est de ne pas réaliser qu’il s’agit d’une projection de quelque chose qui nous appartient, et de repousser la situation, la personne ou l’événement en l’accusant d’être le problème —alors qu’il n’en est que le révélateur.

À l’extérieur, il y a bien des personnes que je pourrais qualifier de psychopathes, qui s’emploient à détruire l’humanité de façon extrêmement méthodique et ritualisée. Ces personnes existent, leurs actes immondes sont réels.

Les mangemorts sont les sorciers partisans actifs de Voldemorts, qui ont pour but d’imposer un nouvel ordre basé sur la peur. Les masques qu'ils portent sont le reflet de l'ambiance qu'ils distillent.

Mais je pense que si elles ont la possibilité d’exister et de faire ce qu’elles font, c’est-à-dire de créer les conditions de cette gigantesque et sombre bataille extérieure, c’est parce que la vaste majorité de la population sur Terre ne s’occupe pas de sa bataille intérieure individuelle —pire, elle passe même son temps à la fuir.

Pour que nos batailles individuelles s’apaisent et que le reflet de nos intérieurs mis en communs soit la paix universelle, il y a un travail à faire de la part de chacun : un travail intérieur ET extérieur.

L’intérieur est l’espace d’observation de soi, de ce que l’on est, de ce que l’on a à disposition (forces, talents, capacités) mais aussi de sa propre bataille, de ses blessures. C’est l’endroit où l’on a à reconnaître humblement là où on s’est trompé sur soi, le lieu où l’on prend soin de soi, où on fait du tri et du nettoyage.

L’extérieur, lui, est l’endroit où l’on vit, où ce qui a été vu, appréhendé, soigné ou ajusté en nous va se reconfronter à la vie. La vie, elle, va se charger de nous envoyer de nouvelles informations, du feedback et des éléments qui nous permettront en retour de mesurer où l’on en est et d’identifier la prochaine étape, la prochaine action à poser. C’est l’endroit où ce qui est senti et pensé se traduit concrètement en mots et en actes.

Quand chacun prend la responsabilité de sa bataille individuelle intérieure, il agit directement sur la grande bataille collective extérieure.

À noter : lorsque l’on est en paix intérieurement, ce qui apparaissait comme une bataille extérieure peut toujours exister, mais… ne nous touche plus de la même manière, voire plus du tout. On peut passer à autre chose ou bien, si la cause est chère à notre cœur, on peut agir : il est bien plus facile d’intervenir alors, car les coups ne nous atteignent plus.

Nous en reparlerons à la fin de cette série d’articles puisque la saga Harry Potter s’achève justement à la fin… de la bataille de Hogwarts.

La bataille de Hogwarts : une métaphore de la bataille qui a lieu en chacun de nous et à laquelle nous avons à nous confronter si nous voulons en finir avec la bataille collective dans le monde réel.

Revenons maintenant là où tout commence.

The boy who lived

The boy who lived, c’est le titre du premier chapitre du premier livre. Ce titre fait référence au fait que, Harry Potter, c’est le garçon qui a survécu au sort, normalement mortel et imparable, que lui a jeté Lord Voldemort, lorsqu’Harry était encore bébé.

Harry est le seul être vivant connu ayant résisté à ce sort et la grande histoire d’Harry Potter, la saga, commence seulement quelques heures après cet événement.

Pour moi, ce titre raconte aussi autre chose, si on prend un peu de recul.

Harry Potter, c’est l’histoire de la montée du totalitarisme et de comment Harry vient à bout de celui qui en est à l’origine, son ennemi —nous aurons l’occasion d’en parler en long, en large et travers plus tard.

Harry Potter est le héros de cette quête. C’est à lui que revient la mission d’éclaircir son histoire personnelle ainsi que l’histoire collective, les deux étant intimement mêlées, afin de trouver les informations et les éléments dont il aura besoin pour mener la bataille de sa vie et vaincre Lord Voldemort.

Commencer cette grande histoire par The boy who lived, pour moi, est une façon de poser deux choses :

  1. à partir du moment où tu es en vie, tu es concerné : tu lis ce livre, tu es vivant, c’est de toi dont on parle, c’est de ta quête dont il est question, c’est ta mission, si tu l’acceptes, que tu es en train de découvrir, sous une forme romancée ;

  2. à partir du moment où tu es en vie, tu as déjà une largeur d’avance sur l’ennemi et sur le bordel qui s’en vient : tu as déjà, rien que parce que tu es en vie (comme Harry) résisté à un sort normalement mortel —tu es protégé.

Nous verrons plus tard que si Harry n’a pas été touché par le sort, c’est parce qu’il était protégé par l’amour de sa mère, mais il ne s’agit pas d’une protection unique et particulière comme on pourrait le penser à première vue —il s’agit en réalité d’une protection d’amour dont bénéficie toute personne vivante. Nous en reparlerons.

Harry Potter, c’est toi, c’est moi.

Harry Potter : c’est nous

Harry Potter, c’est toi, c’est moi. Ce garçon est le protagoniste de cette histoire, il représente en réalité le protagoniste de l’histoire de chacun.

Il n’a rien de plus ni de moins qu’une personne lambda : il porte un nom et un prénom très communs qui se révèlent fades par rapport à ceux des autres personnages de la saga.

Il aime et sait faire certaines choses très bien, comme voler sur un balai, mais il est aussi moyen voire mauvais dans d’autres domaines : c’est un garçon comme tout le monde, avec ses dons, ses talents et ses limites.

On l’apprendra au fur et à mesure de l’histoire : Harry Potter est un garçon tout-à-fait ordinaire. S’il devient le héros de cette histoire, c’est parce que Voldemort a décidé de croire à une prophétie qui a été faite le concernant.

Cette prophétie disait qu’un enfant né à la fin du mois de juillet serait un jour son rival —or Harry Potter était né à la fin du mois de juillet, il a donc choisi d’aller l’éliminer avant que la prophétie ne se réalise, sans comprendre que c’est ce choix même de l’éliminer qui allait amener la prophétie à se réaliser.

Mais un autre garçon était né fin juillet : Neville Longbottom. Voldemort aurait pu tout aussi bien choisir de l’éliminer lui, et l’histoire aurait été bien différente.

Au départ, rien ne fait de Harry une personne particulière. Il n’a rien de spécial par rapport à ses camarades.

Ce sont ses choix qui font de Harry ce qu’il est : quelqu’un d’intéressant, de bon et de courageux face aux épreuves qu’il affronte les unes après les autres.

C’est d’ailleurs ce que lui dit le directeur de Hogwarts, un jour :

“Ce sont nos choix qui déterminent qui nous sommes, beaucoup plus que nos aptitudes.”

Albus Dumbledore

Albus Dumbledore est le directeur de l’école de sorcellerie Hogwarts et l’un des magiciens les plus puissants —Voldemort le redoute.

Les premiers chapitres de cette histoire sont là pour nous dire cela : qui que tu sois, tu es capable.

Pour affronter la noirceur qui s’étend sur le monde depuis longtemps déjà et qui est le reflet de la noirceur qui t’habite mêlée à celle de tous les autres humains, tu as tout ce qu’il faut en toi.

Cela ne nécessite pas de grand talent ou de compétences spécifiques : celles que tu as naturellement (tout le monde a des talents) seront parfaites et suffisantes. Tout le monde peut déjouer les forces du mal.

Cela ne veut pas dire que ce sera facile, cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas d’effort à faire, au contraire : il va falloir développer de la volonté et du courage.

Simplement, le reste (l’aide, les connaissances, le soutien, etc.) se présentera au moment opportun.

Les compétences à developper

L’histoire commence donc avec la découverte de ce garçon qui n’a rien de spécial… à part le fait d’être un sorcier (mais lui ne le sait pas). Nous en reparlerons plus tard.

Harry découvre qu’il est un sorcier et s’en va apprendre à utiliser la magie à l’école de sorcellerie Hogwarts, un château bien caché dans les Highlands, en Écosse.

Les efforts à faire et les compétences à développer pour remplir la mission de taille qui attend Harry (mais qui nous attend nous aussi), elles nous sont apportées via les 4 grandes maisons de Hogwarts : Gryffindor, Ravenclaw, Hufflepuff et Slytherin —en Français : Gryffondor, Serdaigle, Poufsouffle et Serpentard.

De quoi s’agit-il ? Eh bien chaque élève qui arrive à Hogwarts est envoyé, par le choixpeau magique, dans l’une de ces 4 maisons, en fonction de sa personnalité.

Le choixpeau est un chapeau qui parle et qui a la capacité, quand on le met sur sa tête, de déceler les traits de caractère de la personne mais surtout, ses valeurs et ce qui est important à ses yeux, afin de l’orienter dans la maison qui lui conviendra le mieux pour ses 7 années d’études.

Les 4 maisons de Hogwarts sont représentée sur le blason de l’école : le lion sur fond rouge, le blaireau sur fond jaune, l’aigle sur fond bleu et le serpent sur fond vert.

Lorsque l’école a été fondée, chacun de ses 4 créateurs a décidé de prendre sous son aile les élèves faisant preuve de certains traits de caractère ou compétences :

  1. Gryffondor : courage, hardiesse, force, bravoure et détermination.

  2. Ravenclaw : intelligence, sagesse, créativité, originalité et curiosité.

  3. Hufflepuff : loyauté, patience, goût du travail acharné, honnêteté et tolérance.

  4. Slytherin : leadership, ruse, ingéniosité, ambition et fierté.

Ces maisons ont été conservées et structurent la vie à l’école. La cérémonie de répartition se fait le premier jour de l’arrivée à Hogwarts et l’attribution à une maison est définitive.

Chaque maison :

  • est représentée par un emblème (un animal), des couleurs et un blason ;

  • offre une salle commune cachée, dans le château de Hogwarts, accessible uniquement aux élèves qui font partie de cette maison, qui mène aux différents dortoirs, de sorte que les élèves d’une même maison vivent ensemble ;

  • a un directeur, qui est un professeur de l’école issu de cette maison ;

  • gagne ou perd des points en fonction des actions des élèves : un match de Quidditch gagné, de bonnes réponses en classe ou des actions positives donnent la possibilité aux professeurs ou préfets d’attribuer des points aux élèves ; au contraire, des mensonges, bêtises, mauvais résultats, actions délétères, dangereuses ou coups bas leur permettent d’en retirer.

Lorsqu’Harry le met sur sa tête, le choixpeau hésite : il a bien envie de l’envoyer chez Slytherin car il perçoit chez lui de l’ambition, de l’ingéniosité, de la ruse… c’est parce qu’Harry lui demande dans sa tête, à tout prix, à ne pas y aller, que le choixpeau l’oriente finalement vers Gryffindor.

Slytherin, Harry ne voulait pas y aller parce qu’il avait compris que les sorciers les plus sombres, les plus mauvais, venaient la plupart du temps de cette maison et il ne voulait pas y être associé.

Harry ne veut pas être associé à Slytherin. On retrouve cette idée que, plus que nos dons de départ, nous sommes nos choix !

C’est dans la maison Gryffindor qu’il rencontrera ses 2 plus grands amis, Ron et Hermione —dont nous reparlerons en détail plus tard.

On voit déjà à travers cet épisode que les maisons ne sont pas égales, qu’elles ne se valent pas.

Tu as vu l’ordre dans lequel j’ai présenté ces 4 maisons ? Gryffindor, Ravenclaw, Hufflepuff et pour finir, Slytherin.

Ce n’est pas un hasard.

Toutes les personnes qui ont lu les livres pourront le dire : les maisons sont très clairement mises en avant d’une certaine façon. Gryffindor est la maison “favorie” : Dumbledore lui attribue des tas de points lorsqu’il estime qu’elle est trop bas dans le classement des maisons, en fin d’année ; c’est aussi la maison qui est portée par celui qui est, symboliquement, le roi des animaux : le lion, qui évoque la prestance, la grandeur, la puissance. Face au blaireau (Hufflepuff) ou au serpent (Slytherin), c’est pas pareil.

L’image de l’aigle, elle, reste plus floue parce que Ravenclaw signifie littéralement “serre de corbeau”, ce qui fait que les symboles de ces 2 oiseaux, même s’ils sont puissants et intelligents, se superposent et diminuent leur force.

Les personnages avec lesquels nous sommes clairement en lien, ceux que nous suivons, sont très majoritairement de la maison Gryffindor.

Ravenclaw et Hufflepuff passent complètement au second plan, on les connaît peu. Ceux de Ravenclaw ont l’air intelligent mais sont aussi très farfelus (les professeurs Trelawney et Lockhart en tiennent une couche !), ceux de Hufflepuff gentils mais naïfs.

Les personnages de la maison Slytherin, quant à eux, son présentés comme mauvais, méchants, aux intentions douteuses ou tout simplement stupides.

On nous dit clairement quel camp choisir.

Au début, quand je découvrais cet univers, je trouvais cette façon de nous dire qui aimer, qui détester, extrêmement grossière. Je n’étais pas d’accord avec ce manque de nuance.

Et puis je me suis posé une question : et si ce classement de personnes était en réalité un classement de compétences à développer ?

Et j’ai changé de regard.

Quand on voit les maisons et leurs qualités, non pas comme un classement de personnes “bonnes” ou “mauvaises”, mais comme la hiérarchie des compétences qui seront nécessaires à entraîner pour faire face à notre bataille intérieure, tout change !

Hermione, Ron et Harry, dans leur uniforme aux couleurs de Gryffindor.

Oui, le courage, la hardiesse, la force, la bravoure et la détermination sont les premières compétences à développer, les plus importantes, les aptitudes capitales.

Parce que sans courage, l’intelligence reste une idée et ne se transformera jamais en action.

Sans courage, pas de curiosité vraie pour l’inconnu.

Sans courage, la sagesse sera seulement une belle théorie.

Sans courage, on reste loyal au connu, au passé, à ce qui ne fonctionne pas mais reste confortable.

Sans courage, on patiente jusqu’à la mort.

Sans courage, le leadership mène à la fuite.

Sans courage, l’ambition et la fierté se transforment en actes égoïstes et lâches.

Les qualités mises en avant par la maison Gryffindor sont en fait les qualités dont nous, humains, nous avons besoin en priorité si nous voulons mener à bien notre mission et affronter notre bataille intérieure.

Parce que regarder en soi va demander beaucoup de courage.

Attention, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit : absolument toutes les autres qualités sont les bienvenues et seront même indispensables à un moment ou à un autre.

Nous le verrons d’ailleurs dans la saga : des personnages de chacune des maisons joueront un rôle déterminant pour la victoire finale.

Simplement, le courage doit venir en premier.

C’est parce que les aptitudes que nous avons s’appuieront sur un socle solide de détermination, force et courage qu’elles pourront se déployer pleinement et porter leurs fruits.

Le courage sera nécessaire pour descendre dans nos propres profondeurs parce que même si cette quête ne peut pas nous mener à la mort, elle pourra nous le faire croire.

Le lien unique qui unit Harry à Voldemort

Dans ce premier tome, qui pose les bases et les personnages de la saga, on découvre également le lien spécial qui unit Harry à Voldemort.

En choisissant de croire la prophétie faite à son sujet puis en jetant un sort mortel à Harry Potter sans réussir à le tuer, Voldemort s’est lié à Harry de façon intime, sans le savoir, sans le vouloir.

Une partie de son âme s’est détachée et est venue s’accrocher à Harry —au niveau de sa cicatrice— ce qui a considérablement affaibli Voldemort.

Il a transmis à Harry la capacité de parler fourchelang, mais on verra également, plus tard, qu’ils sont liés par la pensée et que l’un comme l’autre peut voir et sentir ce qui se passe pour l’autre.

Dans ce premier tome, ce lien se matérialise notamment à travers la baguette magique qui choisit Harry.

Oui, parce que dans le monde des sorciers, c’est la baguette qui choisit le sorcier et non l’inverse.

Il se trouve que la baguette de Voldemort contient une plume de phœnix. Le phœnix qui a fourni cette plume en a fourni une seule autre, qui a servi à faire la baguette… de Harry.

La baguette de Harry et celle de Voldemort sont jumelles.

Ce qui est intéressant, dans le fait que ces deux baguettes soient sœurs, c’est que deux baguettes sœurs ne peuvent pas s’affronter réellement : si leurs maîtres entrent en duel, elles ne leur permettront pas de se tuer l’un l’autre.

J’y vois une indication de plus que Voldemort, dès le départ, ne peut pas tuer Harry. Il essaiera à de nombreuses reprises, en vain.

Cette façon dont Harry et Voldemort sont liés, pour moi, parle de ce lien intime, personnel et individuel que nous avons avec l’ombre qui s’agite à l’intérieur de nous et que nous avons à rencontrer.

Cette ombre, aussi effrayante soit-elle, ne peut pas nous faire mourir.

À l’intérieur de nous ou à l’extérieur de nous, c’est la même chose : cette ombre qui s’agite et nous fait peur ne fait que ça —s’agiter et nous faire peur.

Son pouvoir, elle le tient de nous : si nous en prenons conscience et que petit à petit, nous reprenons notre pouvoir, elle le perdra et finira par disparaître.

 

Voilà pour l’heure ! J’aurai encore pas mal de choses à dire sur ce premier tome : les personnages principaux, le château, l’intrigue, mais également une foule de petits détails.

En attendant la suite, si tu as des questions ou des réflexions sur cet article, n’hésite pas à m’en faire part dans les commentaires !

Flora

 
Précédent
Précédent

Comment choisir ses sources d’information ?

Suivant
Suivant

Harry Potter et le nouvel ordre mondial | Introduction